Mon retour d’expérience sur macOS 26 Tahoe

Rédigé par petitpouyo le 06 novembre 2025 Aucun commentaire

J’ai installé macOS 26 « Tahoe » dès sa sortie. Pas parce que j’attendais quelque chose de révolutionnaire, mais plutôt par habitude, et aussi par curiosité. J’aime bien voir comment Apple fait évoluer son système d’année en année, parfois par petites touches, parfois par gros changements visibles. Cette fois, ce n’est pas une version qui en met plein les yeux au premier démarrage. Et pourtant, après quelques jours d’utilisation, j’ai remarqué des ajustements qui ont vraiment amélioré mon quotidien.

La première chose qui m’a frappé, c’est Spotlight. Je l’utilise constamment pour ouvrir une app, retrouver un fichier, calculer quelque chose rapidement, et là, il a gagné en pertinence. On peut chercher directement dans les fenêtres déjà ouvertes, comme si le Mac se souvenait de ce qu’on a sous les yeux. L’historique du presse-papier m’a aussi fait sourire. Combien de fois j’ai copié quelque chose avant de le perdre dans le flux. Ce détail change tout. Ça ne saute pas aux yeux mais, dans l’usage, ça fluidifie vraiment le travail.

Le Centre de Contrôle devient enfin vraiment pratique. Avant, c’était un tiroir bien rangé mais pas forcément accessible. Maintenant, je peux tirer des éléments pour les garder sous la main dans la barre de menus. Je garde ce dont j’ai vraiment besoin, j’enlève le reste. C’est tout bête, mais on a l’impression que le Mac se plie davantage à nous, et pas l’inverse.

Je ne suis pas un gros joueur PC, mais j’aime quand même voir comment Apple essaie de rendre le Mac plus capable côté jeux. Avec Tahoe, on sent qu’il y a une vraie direction. Meilleure fluidité, effets visuels améliorés pour les jeux compatibles. Rien de miraculeux aujourd’hui, mais assez pour me dire que, dans quelques années, le Mac pourrait devenir une véritable plateforme de jeu. Et ça résonne avec mon projet Hack’n’Case, où je m’amuse justement à détourner des machines et à créer de nouvelles expériences autour du matériel.

Ce que j’ai peut-être le plus adopté, ce sont les automatisations avec l’app Raccourcis. J’adore quand la machine fait les choses toute seule. Par exemple, quand je branche un écran externe, mon Mac active automatiquement le mode sombre et Ne pas déranger. Je lance mon environnement de travail sans avoir à cliquer. Ces petites routines ajoutées bout à bout donnent la sensation que le Mac travaille avec moi, pas juste pour moi.

Safari gagne aussi en tranquillité. Moins de tracking invisible, moins d’empreintes laissées malgré soi en ligne, aucune option à cocher ou bidouiller. C’est activé par défaut. J’apprécie beaucoup quand la protection ne demande pas d’efforts supplémentaires.

Et puis il y a l’app Journal, que je connaissais déjà sur iPhone. Le fait de la retrouver sur Mac, c’est exactement ce qu’il me fallait. Écrire tranquillement, revoir mes notes, structurer mes pensées, garder des traces de ce que je vis ou construis. Synchronisé, discret, pas intrusif. Ça se marie très bien avec le temps que je prends parfois pour réfléchir à mes projets ou documenter mes démarches.

Dans l’ensemble, macOS 26 n’est pas une mise à jour spectaculaire. C’est plutôt une amélioration douce, continue, cohérente. Ce genre de mise à jour qui ne cherche pas à impressionner, mais à accompagner. On ne le remarque pas forcément le premier jour, mais au bout de quelques heures, les choses paraissent plus naturelles, plus fluides, moins contraignantes. Et c’est exactement ce que j’attends d’un système d’exploitation. Qu’il sache se faire oublier.

Classé dans : Apple

MacOS 26 MacOS Tahoe Tahoe Liquid Glass Mac Mini M2 Mac Mini Apple

Information sur petitpouyo, auteur de l'article:

Passionné de technologie, je m'adonne avec raffinement à une approche éclectique et élégante de l'informatique, privilégiant toujours la simplicité et l'efficacité.

Écrire un commentaire